LÒDZ : interview au Black Dog

LÒDZ : interview au Black Dog

Entretien avec Eric et Julien du groupe LÒDZ en promotion au Black Dog à Paris

Entretien avec Eric et Julien du groupe LÒDZ à l’occasion de la journée promotion au Black Dog à Paris

Julien, Erik et Eric

Nouvel album Moons and Hideways sorti le 16 décembre 2022 via Crimson Productions

LÒDZ album

TRACKLIST

1.Pyramids
2.You’ll Become a Memory
3.Chimeras
4.Ghosts of Confusion
5.Play Dead
6.Fast Rewind
7.Sorry For September
8.This Mistake Again
9.We’ll Have To

Moons and Hideways a été mixé par Nikita Kamprad chez Ghost City Recordings (DER WEG EINER FREIHEIT). Mastering de Ladislav Agabekov (CH) chez Caduceus Studio (NOSTROMO, IMPURE WILLHELMINA…).

Pour les fans de : KATATONIA, PARADISE LOST, SOLSTAFIR, CUL OF LUNA, GHOST BRIGADE…

BANDCAMP

LÒDZ

Eric : Chant, Guitare
Erik : Batterie
Olivier : Guitare
Julien : Basse

https://www.facebook.com/lodztheband

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Rock Metal Mag : Depuis votre album précédent Time Doesn’t Heal Anything, paru en 2017,  le line up de LÒDZ a changé, est ce que vous pouvez présenter le groupe?

Eric : Alors je vais faire dans l’ordre chronologique. Ce n’est pas pour parler de moi en premier mais je suis à l’origine de la création du groupe et je suis toujours là en tant que chanteur et guitariste. Ensuite, il y a Olivier qui est guitariste et qui fait des voix secondaires. Julien, à la basse est arrivé un peu plus récemment et le dernier c’est Erik qui est batteur.

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Rock Metal Mag : Julien, comment est née cette collaboration entre toi et les autres membres du groupe?

Julien : Alors, cela s’est fait à un moment de transition du groupe, à l’époque où s’est finie la promo de l’album précédent. Et donc, je suis arrivé au moment où commençait à s’amorcer le nouvel album. C’était aussi dans une démarche de changement pour le groupe et je tombais bien.

Eric : Oui, tu es arrivé à un moment de nouveau départ. Musicalement, on avait envie de s’ouvrir plus. On voulait moins de barrières stylistiques et aussi se laisser nourrir par toutes nos influences, même les plus anciennes. Par exemple, celles où on était ado et où l’on commençait à gratouiller. Donc, Julien est arrivé au moment de cette transition artistique. Et Erik est arrivé en dernier pour enfoncer le clou.

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Rock Metal Mag : Avant de rejoindre Lodz tu étais dans une autre formation?

Julien : Oui j’étais dans un groupe qui n’existe plus aujourd’hui, Endless Sundown et qui était plutôt Rock/Grunge. Donc loin de ce qui se passait avec Lodz. Mais par contre, dans notre approche, en terme de ressenti et d’émotion , c’était finalement le même propos. Les thèmes étaient plutôt Dark, avec un expression de la musique plutôt sombre.

Je suis un grand fan d’Alice in Chains, par exemple, mais ce n’est pas du tout incompatible avec ce que va faire Katatonia ou Paradise Lost. Au niveau de la guitare et de la rythmique, lorsque l’on écoute, tout est différent, mais le ressenti, pour moi, est en fait, très similaire.

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Rock Metal Mag : Est ce que votre processus de composition a changé ?

Eric : Alors complètement. Historiquement, nous étions un groupe de boeufs et de répéts. On arrivait chacun avec nos idées, c’est à dire, un petit riff de guitare, une idée de voix, un riff de batterie. Et puis on faisait tourner ça en répét et on composait comme ça.

Et au fil du temps, nous sommes allés, de plus en plus, vers une musique écrite avec plus d’arrangements. Le dernier album, on l’a vraiment pris à contre pied. C’est à dire que nous ne l’avons pas composé au local où chacun venait avec ses idées. Cette fois, on s’est isolé dans une maisons à la campagne pendant plusieurs jours. Et on s’est complètement coupé du monde. Il n’y avait plus de jours ou de nuits et on mettait les téléphones de coté.

On amenait tout notre matériel et on s’improvisait des studios.

Et tant qu’il y avait de l’énergie, on composait, pour être totalement focus sur la musique.

Julien : C’était vraiment hors du temps. D’ailleurs pour l’anecdote, quand on a commencé à composer en 2020, le week-end où le confinement était annoncé, on est parti dans le sud de la France. Lorsque l’on est parti de Lyon, la vie était normale et quand on est revenu tous les bars étaient fermés, c’était l’apocalypse. (rires)

Donc l’album a vraiment été composé dans ce mood là.

Eric : Dans des bulles hors du temps, totalement déconnectées de la société.

Julien : Et puis le fait de s’isoler, cela permet d’aller vraiment au bout des choses. Quand on est en répét, on arrive pour 2 ou 3 heures, tandis que là, le fait que ce soit plusieurs jours, on est à 100% dans le truc.

Eric : On enregistre tout et on réécoute tout avec un très bon son. On peaufine. Donc, c’est vraiment une autre méthode de travail. Et on a pu vraiment prendre tout notre temps.

Julien : Il y a presque 5 ans entre deux albums et comme on a choisi de fonctionner uniquement comme ça, on a calé certains moments quand on le pouvait. On a pris vraiment le temps de tout écouter et de tout tester.

Eric : Cela nous a permis d’aller beaucoup plus au fond des choses et d’être beaucoup plus exigent.

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Rock Metal Mag :  Moons and Hideways  succède donc à Time Doesn’t Heal Anything. Quel a été votre principal challenge par rapport à son prédécesseur?

Eric : De tout se permettre en fait et de se laisser une totale liberté, sans répondre aux codes d’un style. On a vraiment voulu chercher le son Lodz. Et pour la petite anecdote lorsque l’on a commencé à composer cet album, on n’a pas commencé à faire des notes mais on a cherché un son.  C’est à dire que l’on a créé un son qui est en l’occurrence un mélange de chorus, de reverb et de delay.

Et ce son serait le fil rouge et la couleur de l’album.

C’est un son que l’on n’avait jamais utilisé avant et on savait que cela allait colorer très fortement l’album. Donc, voilà c’était le challenge et dès le début on a voulu être totalement libre. Il y a des choses actuelles que l’on adore mais également des choses plus anciennes que l’on adore aussi.

Julien : On est sans tabou et on va jusqu’au bout car cela nous plait. Nous voulons être satisfait à 100% et peu importe si ça sonne comme ci ou comme ça.

Rock Metal Mag : Sans étiquette de style .

Eric : Oui voilà. On aime aussi bien le Metal Extrême que le Rock Inde, ou le Doom anglais des années 90 ou un bon vieux Paradise Lost. Et tout ça n’est pas incompatible. Il suffit juste de donner la cohésion mais par contre il faut toujours que ça sonne Lodz. Il ne fallait pas que cela devienne un nouveau groupe et cela devait rester dans une continuité artistique.

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Rock Metal Mag : Donc, vous avez tous les quatre des influences musicales différentes?

Eric : Oui très différentes.

Julien : On a un tronc commun mais on vient de plein d’univers. Et c’est assez drôle parce que tout le monde fait écouter ses coups de coeur, ses souvenirs d’ados et du coup, on a une piste qui est très large. Mais c’est une richesse.

Eric : Par contre je dirais que le dénominateur commun ce sont vraiment les musiques Dark. Nous sommes très attirés par le coté émotionnel de la musique. C’est vraiment ce qui nous a rapproché.

Sinon notre éventail d’influences est très large.

On aime autant Alice In Chains que Der Weg einer Freiheit ou Katatonia, ou Harakiri For The Sky. Historiquement, j’écoutais beaucoup de Black Metal comme Emperor, Dissection et toute cette scène là. Après on adore aussi Editors, le Post Punk anglais, le Dark Wave, le Trip Hop.. Mais avec toujours comme dénominateur commun, l’émotion.

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Rock Metal Mag : Oui j’ai noté qu’il y a beaucoup de mélancolie dans vos chansons. Je présume que c’est toi, Eric, qui écrit les textes.  Ton inspiration vient de tes états d’âme personnels?

Eric : Oui, effectivement, ce sont mes états d’âme personnels. Pour écrire, je me mets clairement dans le rouge et je vais gratter là où ça fait du mal. (rires) Je me fais mal volontairement mais c’est mon processus d’écriture. Donc ce sont des histoires très personnelles. Par contre, volontairement dans l’écriture, j’ai fait en sorte que chacun puisse se raconter sa propre histoire ou y mettre une expérience personnelle Chacun peut l’interpréter  à sa façon.

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Studio Ghost City Recordings,

Rock Metal Mag : Pour le mixage vous avez travaillé avec Nikita Kamprad chez Ghost City Recordings, C’est votre première collaboration avec lui?

Eric : Oui et cette collaboration est née parce que nous sommes des fans, des groupies. (rires)

Julien : C’est le guitariste/chanteur de Der Weg einer Freiheit justement.

Eric : Et du fait de son travail dans Der Weg einer Freiheit, on s’est intéressé à ce qu’il faisait en tant que producteur. Il a une production basée sur des dynamiques très fortes et un son naturel, très organique. On aimait beaucoup aussi son coté écorché vif.

Quand tu écoutes Der Weg einer Freiheit et Lodz, tu te dis qu’il n’y a aucun rapport. Et en réalité, on a une approche très similaire dans le fait de faire une musique écorchée vive qui va vraiment chercher l’émotion très pure et intense. Donc, c’est vraiment une chose qui nous séduisait chez lui. Et quand on l’a contacté, il était disponible et il a vraiment accroché sur l’album quand on lui a envoyé la maquette.

Et de là il savait quelles choses il allait faire et qu’il ferait du bon boulot.

On s’est très bien entendu et on lui a beaucoup expliqué notre démarche et la façon dont on voulait que cela sonne. Et il s’est tout a fait reconnu dans nos démarches et même dans notre choix de matériel. Nous étions en phase totale. A la base on ne devait pas faire que le mix mais on devait aller enregistrer en Allemagne, dans son studio. Mais avec les confinements, on a du annuler la chose. Ensuite avec Der Weg, ils avaient la sortie de leur dernier album, la promo…etc

Donc on s’est retrouvé coincé et on a du trouver une autre solution.

Alors on a enregistré en France dans différents studios et il a mixé en Allemagne.

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Caduceus Studio

Rock Metal Mag : Et le mastering a été fait en Suisse chez Caduceus Studio?

Eric : Oui avec Lad (ndlr: Ladislav Agabekov) de Nostromo qui fait un travail exceptionnel. C’est vraiment l’un des meilleurs « masteriseurs » ou plutôt sublimeur.

Julien : Oui, parce que l’on ne voulait pas d’un master trop compressé, trop artificiel. Comme c’est un peu la mode, parfois tout est à fond. On voulait un mix avec beaucoup de dynamiques donc il aurait été dommage d’avoir un master qui aplatit tout. Et justement il a sublimé l’ensemble.

Eric : Il a tout compris. c’était fluide.

Julien : En fait, ce qui est bien, c’est que dès le début, on a tout de suite senti que ça marcherait avec nos deux interlocuteurs. Cela ne pouvait que fonctionner puisque l’on voulait la même chose.

Eric : On savait que l’on était entre de bonnes mains.

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Rock Metal Mag : Les chansons sont en anglais mais sur Chimeras il y a un texte en français : « La vie est un grand vide, elle l’a toujours été… ». Pourquoi ce petit passage en français ?

Eric : Alors il s’agit d’un sample du film « Seul contre tous » de Gaspar Noé . Il est structuré comme un long monologue intérieur. En fait, on entend les pensées du personnage et il parle tout le long du film. Les textes sont absolument prodigieux et c’est une lente descente aux enfers du personnage. C’est vraiment un film culte que j’ai regardé plusieurs fois. Alors il se trouve qu’au moment où j’écrivais les textes de Chimeras, troisième morceau de l’album, j’ai regardé à nouveau ce film. Et quand ce passage est arrivé, je me suis rendu compte que c’était exactement ce que j’essayais d’exprimer.

Donc on a pris ce passage qui résonnait en nous et on l’a intégré au morceau.

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Rock Metal Mag : Sur chacune de vos pochettes il y a une photo de femme ou de jeune fille, pourquoi?

Eric : Alors c’est un peu notre Eddie d’Iron Maiden, notre mascotte. (rires) Alors jusqu’à présent toutes les pochettes étaient toujours dans des tons noirs et blancs ou faux noirs et blancs. Ce qui correspondait un peu à l’identité du groupe depuis le début.

Et sur ce nouvel album, pour marquer le coup, on voulait partir sur un autre code couleur et une autre ambiance.

Alors on a un peu travaillé les choses et on pensait laisser tomber cette figure féminine. Mais en fait, non, on n’y arrive pas. Je pense que cette figure féminine c’est une part de nous. Elle incarne le groupe, l’introspection. Et les personnages de chaque pochette sont toujours dans le ressenti et le moment présent. Et ça fonctionne. C’est même devenu une entité du groupe. Même si on en est pas encore là, pour le prochain album je n’arrive pas à m’imaginer une pochette du groupe sans une figure féminine. Cela fait parti de nous.

Julien : C’est une sorte de fil rouge.

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LÒDZ album

Rock Metal Mag : Mais sur la pochette de Moons and Hideways, il y a une porte ouverte qui amène vers un autre univers?

Eric : Oui, on peut le voir comme ça.

Rock Metal Mag : Ou plutôt vers notre coté caché?

Eric : Voilà c’est ça. On a tous parfois envie de se cacher des autres mais aussi de soi-même. On peut être dangereux envers soi-même et on a besoin de se cacher dans des illusions, ou des addictions. C’est fuir le quotidien ou certaines pensées et cette porte symbolise une petit peu ça.

C’est notre entrée dans un autre monde.

Quand tu ouvres la pochette de l’album, tu es de l’autre coté de la porte. Moons ce sont un peu les humeurs et les cachettes. Pour te préserver, tu dois trouver la bonne cachette en fonction de tes humeurs. D’ailleurs c’est un peu le thème de l’album.

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Rock Metal Mag : Et donc qui est l’auteur de la pochette de Moons and Hideways ?

Eric : Et bien c’et moi. D’ailleurs depuis le début puisque ma profession est Graphiste. Sur cet album on aurait aimé avoir un regard extérieur et finalement les confinements ont encore compromis la chose. Et comme je suis à l’origine du groupe, c’est pour moi un album de transition. Même si l’équipe est nouvelle c’est une nouvelle phase dans la vie du groupe. Je pense que j’avais encore besoin de tenir la direction artistique visuelle de l’album.

Mais il n’est pas exclu que sur le prochain je passe le flambeau justement pour avoir du recul.

Et de la même manière que l’on a passé le flambeau de la production pour cet album. Donc, pour le prochain ce serait bien qu’on le fasse sur le visuel.  Je trouve génial que des gens viennent nourrir de leur propre univers un tout autre univers.  Comme cela a été le cas avec Nikita Kamprad pour le son. Donc, si on réussit à trouver quelqu’un qui alimente notre univers visuel ce serait top.

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  Rock Metal Mag : Est ce qu’il y a une chanson qui vous touche plus particulièrement?

Julien : Alors il y en une qui est vraiment différentes des autres et c’est Fast Rewind. C’est un de mes morceaux préférés parce qu’il est différent et il a tout de suite fonctionné dans le processus de compo. On ne s’est pas trop posé de questions sur ce morceau. Et c’est la première fois dans Lodz qu’il y a ce genre d’ambiance. C’st un parti pris de faire un morceau plus rock, presque indus et très lancinant.

Et c’est cette originalité qui fait que c’est un de ceux que je préfère.

Au niveau du thème aussi, même si, encore une fois, ce n’est pas très joyeux. Cela représente un peu le fait d’être parfois déconnecté, déphasé et je pense que c’est une chose que l’on ressent tous à un moment, au moins une fois dans sa vie.

C’est aussi pour cela qu’il est sorti en second single même si, il est le plus différent du reste. Et c’est une facette dont on est super fier et cela ne m’étonnerait pas que pour la suite on continue dans ce sens là.

Eric : Moi, mon préféré c’est Chimeras. Je ne peux pas dire pourquoi, mais c’est celui qui résonne le plus en moi. Et puis j’aime beaucoup aussi Sorry For September . D’ailleurs, ces deux morceaux ne sont pas des singles. Pour moi, ils ont une profondeur différentes des autres. J’aime les sons, les détails dans les arrangements vers lesquels nous sommes allés. Cela me parle beaucoup.

Julien : Oui j’avoue que j’aime beaucoup aussi Sorry For September.

  Rock Metal Mag : Et pourquoi le titre Sorry For September. Il est en rapport avec un évènement particulier ?

Eric : Non, ce sont des évènements liés à septembre mais pour ma modeste personne. Septembre c’est le début de l’automne et c’est le début du drame.

Julien : C’est vrai que dans ce morceau on ressent bien le début du drame avec ce coté mélancolique et un peu nostalgique. On sent que l’on ne va pas forcément dans la bonne direction.

Eric : Peut être que ce sont les deux morceaux les plus cinématographiques. Ils font bien BO de film.

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Rock Metal Mag : J’ai noté que votre premier album Something In Us Died sorti fin 2013 fêtera ses 10 ans fin 2023. Est ce que vous envisagez quelque chose ?

Eric : Alors, on est tellement dans le nouvel album que l’on y a pas pensé. Mais ce n’est pas idiot.

Julien : C’est une très bonne idée.

Eric : Déjà on va faire une release party pour la sortie de l’album, donc il y a peut être un clin d’oeil à faire. Pourquoi pas.

Rock Metal Mag : Vous pourriez le ressortir en édition vinyle par exemple ?

Julien : Alors ça, on y réfléchit sérieusement.

Eric : Oui parce que l’on arrive en fin de stock de nos anciens albums. Donc on se demande si on les réédite en CD ou si on passe tout en vinyle ou les deux.

Julien : Déjà, le dernier album va sortir en vinyle. Mais il y a toujours des délais de production .  Donc, on ne les a pas encore. Mais comme on nous demande toujours les anciens albums on va peut être les ressortir aussi en vinyle;

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Rock Metal Mag : Donc pour la release vous avez une date à annoncer?

Julien : Alors pas pour l’instant. On ne l’a pas encore prévue. Pour l’instant on se consacre vraiment sur la création du nouveau set . On a des concerts qui commencent en avril avec le FESTIROCK METAL et on a le LIONS METAL Festival en juin. Après il y a d’autres dates que l’on a pas encore annoncé parce qu’il faut que l’on attende un petit peu.

Mais on prendra le temps de faire une vraie release, probablement à l’automne, à Lyon. Là on se concentre sur le set de Lodz qui inclut des nouveaux morceaux et des anciens un peu obligatoires.

Ensuite dès que tout sera en place on prendra le temps de faire une soirée spéciale et pas juste un concert.

Eric : On a envie d faire quelque chose de plus original et dans un lieu qui sort de l’ordinaire.

Julien : Donc cela demande de la préparation et on doit prendre le temps de le faire . Alors la date n’est pas encore fixée.

Le 23 avril : FESTIROCK METAL

FESTIROCK METAL
le 3 juin : LIONS METAL Festival 

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Rock Metal Mag : Est ce que vous envisagez de sortir un nouveau clip?

Julien : Oui on va sortir d’autres clips. On a pour but de mettre un support vidéo sur chaque titre de l’album. Mais avant ça, on a une petite surprise et c’est une vidéo spéciale autour de l’album complet. On l’a tourné il y a quelques jours mais elle devrait sortir d’ici quelques semaines.

Eric : Et après pour faire vivre l’album le plus longtemps possible on va effectivement sortir une nouvelle vidéo.

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Rock Metal Mag remercie Eric et Julien du groupe Lodz