Hail to the King de Avenged Sevenfold Après un Nitghtmare explosif, le groupe revient avec Hail To The King et se relève doucement de la mort de leur batteur Jimmy Sullivan dit « The Rev ». Ce nouvel opus met en avant riffs puissants ,rouage principal de cet album. La batterie ,dirigée par le nouveau membre Arin
Hail to the King de Avenged Sevenfold
Après un Nitghtmare explosif, le groupe revient avec Hail To The King et se relève doucement de la mort de leur batteur Jimmy Sullivan dit « The Rev ».
Ce nouvel opus met en avant riffs puissants ,rouage principal de cet album. La batterie ,dirigée par le nouveau membre Arin Ilejay, donne un nouveau souffle au groupe, certes plus classique, mais avec un son bien présent et fulminant en parfait accord avec le reste.
Le disque débute par la chanson Shepeherd of Fire avec une intro tout droit sortie d’un disque de Metallica, ou encore de Megadeth. C’est un titre puissant pour ouvrir ce nouvel opus mais qui pour moi, n’a rien d’exceptionnel. Étonnement, on distingue difficilement les couplets et le refrain. Seul le riff, toujours aussi décoiffant d’un Synyster Gates au top, vient relever la donne.
S’en suit Hail to the King, premier single de cet album. Ici l’intro fait largement penser à Thunderstuck d’AC/DC et n’est pas non plus sans rappeler l’intro de guitare de Losing the Game des Crucified Barbara. Le groupe offre un titre entraînant et qui semble parfait pour les concerts.
Doing Time expose une intro à la Megadeth mais, ce qui frappe le plus, c’est sa ressemblance avec Welcome to the Jungle des Guns’n’Roses. La voix de Mr Shadows est plus aiguë mais reste tout en puissance.
Arrive la fameuse chanson This means war ! On pense à un Sad but True de Metallica revisité. Peut être aurait-il du s’abstenir. Mise à part cette très grosse influence, il n’y là rien d’innovant. C’est probablement à cause de sa ressemblance avec le titre de Metallica qu’on prend plaisir a entonner ce titre.
Requiem est un titre qui se distingue par la présence des chœurs lyriques. Sur ce morceau, M.Shadows alterne voix douce et voix criarde. Le riff est très bien manié. Cette chanson est assez déroutante mais c’est la bonne surprise de l’album.
On enchaîne sur Crimson Day. Cette chanson est une ballade mais une ballade bien faible. On ne ressent rien quand on l’écoute. C’est vide et plat.
On ressent encore l’influence de Metallica avec la chanson Heretic. Ce morceau est très lourd et c’est ce qui le rend si puissant. Le riff impressionnant laisse deviner l’inspiration AC/DC, mais joué de manière plus rapide.
C’est avec Coming Home qu’A7x revient aux sources. Cette chanson sonne comme un hymne et vient relever la barre de cet album plutôt hétérogène.
Planets déboule avec ses cuivres, ce qui en etonnera certains cependant, le groupe arrive très bien à l’intégrer à un son de guitare des plus accrocheur. La voix de M.Shadows est pleine de rage sur un son bien heavy qui fait plaisir à entendre et avec des riffs efficaces à la Machine Head.
Le piano vient adoucir le dernier titre, Acid Rains, qui nous montre qu’il faut s’accrocher à la vie car elle est précieuse. Cette ballade est une des seules chansons qui me prend aux tripes tant part sa puissance que par ses paroles. Les effets sont réussis. En bref, ce titre clôture avec brio cet album.
Tracklist:
1. Shepherd of Fire
2. Hail to the King
3. Doing Time
4. This Means War
5. Requiem
6. Crimson Day
7. Heretic
8. Coming Home
9. Planets
10. Acid Rain