Cartel Concerts
présentait
le concert de
HONEYMOON DISEASE
RAVENEYE
ZODIAC
à La Flèche d’Or à Paris
le 3 octobre 2016

Le rock est à l’honneur à la Flèche d’Or avec ZODIAC + RAVENEYE + HONEYMOON DISEASE !

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La salle parisienne de la Flèche d’Or,  située rue de Bagnolet dans le 20ème, accueillait ce soir là , le groupe Suédois de Rock Groovy,  HONEYMOON DISEASE,  formé en 2014, qui a sorti en novembre 2015 son premier album « The Transcendence », les rockers anglais de RAVENEYE, qui,  après avoir lancé, en mai dernier leur EP  « Breaking Out », viennent de sortir un premier album studio « Nova » en septembre et le groupe de Hard Rock allemand, ZODIAC, dont le dernier album « Grain Of Soul » est paru fin juillet 2016.

C’est la première date parisienne pour le quatuor suédois, Honeymoon Disease, aux influences très seventies. Mené par la dynamique chanteuse et guitariste Jena, à la voix très agréable et bien dans le ton, le groupe envoie un rock très énergique et des plus accrocheur. La guitariste Acid, à une pêche phénoménale et assure un show des plus efficace tout comme Cédric (remplaçant de Nick) à la basse et Jimmy à la batterie. Le public se laisse entraîner par les refrains puissants et ça headbangue à tout va. Jena et Acid communiquent bien avec les fans, et leur énergie est des plus expansive. Honeymoon Disease est une découverte des plus sympathique. Leur rock vintage a su créer une ambiance très festive et on espère les revoir prochainement dans l’hexagone.

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Deuxième groupe de la soirée avec RAVENEYE. Après le Hellfest, en juin dernier, je retrouve avec un immense plaisir ce trio anglais au rock endiablé et dont la performance en live est des plus énergique. Un bémol pourtant coté sonorisation et surtout pour le premier rang qui reçoit une basse tellement forte que la magnifique voix d’Oli Brown est à peine audible. Heureusement cela se ressent beaucoup moins lorsque l’on prend un peu de recul et le public apprécie vraiment la prestation des anglais. Le charismatique chanteur assure un show des plus spectaculaire. Il descend dans la fosse perché sur les épaules de son bassiste, Aaron Spiers, pour jouer au plus près de son public, ses riifs acérés, sur fond de basse/batterie percutantes. Le trio bouillonne et la salle monte en température dans une ambiance survitaminée. Oli nous fait une belle démonstration de solo de guitare et va même jusqu’à grimper sur la grosse caisse pour quelques envolées mélodiques. Le sourire aux lèvres, ils offrent un  rock authentique et vraiment explosif et c’est un pur moment de bonheur de les voir se donner à fond en Live !