The Ocean propose son single, ‘Permian: The Great Dying’, en écoute . Le titre est issu du nouvel album « Phanerozoic I : Palaeozoic » qui sort le 2 novembre 2018 via Metal Blade Records
The Ocean Collective
annonce son nouvel album
‘Phanerozoic I: Palaeozoic’
le groupe allemand, The Ocean propose son single, ‘Permian: The Great Dying’, en écoute . Le titre est issu du nouvel album « Phanerozoic I : Palaeozoic » qui sort le 2 novembre 2018 via Metal Blade Records
Expansif, englobant, et atteignant des profondeurs extraordinaires … tout peut être dit sur l’Océan, cet obscur abysse qui constitue la grande majorité de notre planète et du coup, sur le groupe qui s’est inspiré de son nom.
Aujourd’hui, The Ocean Collective annonce son puissant retour en deux temps, et quatre ans de travail. En Novembre, Phanerozoic I: Palaeozoic, première partie de ce long chapitre sera publié, suivi de la seconde partie Phanerozoic II en 2020.
The Ocean marque la renaissance du groupe avec ‘Permian: The Great Dyying’, une épopée de neuf minutes. Le guitariste et auteur-compositeur principal Robin Staps explique, ‘Environ 90% de toute la vie sur Terre a été détruite lors de cette extinction massive à la fin du Permien, il y a 250 millions d’années. Le scénario le plus probable est que cette extinction massive, « The Great Dying » a été causé par une activité volcanique accrue provoquant un réchauffement de la planète d’environ cinq degrés, entraînant une anoxie (manque d’oxygène) océanique généralisée et le rejet de grandes quantités de méthane des fonds peu profonds dans l’atmosphère. Ce rejet rapide de méthane, un gaz à effet de serre,a causé encore plus de réchauffement.
Tout cela s’est produit bien avant que l’humanité apparaisse sur Terre, mais les effets de ce réchauffement climatique ne peuvent pas être ignorés. «Il n’y a aucune raison de ne pas admettre que les résultats du réchauffement actuel causé par l’homme ne sont pas aussi dévastateurs, si ce n’est pire. La même augmentation des températures mondiales qui s’est produite au moins 150 000 ans à la fin de le Permien est susceptible de se produire dans quelques centaines d’années, en regardant les cinq extinctions massives durant le phanérozoïque, cela nous rappelle que même sans impact humain, la Terre a le pouvoir et le potentiel d’éliminer l’humanité dans son ensemble, à n’importe quel moment. donné dans le temps. ‘
Les flux et reflux de mélodies progressives, de guitares percutantes, de cordes amplifiées et de voix puissantes s’accordent aux thèmes lyriques heavy.
The Ocean Collective marque son empreinte avec Phanerozoic I qui sortira le 2 novembre 2018 via Metal Blade Records et il est maintenant disponible en pré-commande, en versions CD / digitale et en format vinyle sur le propre label du groupe Pelagic Records.
Pré-commandes via Metal Blade Records: https://metalblade.com/theocean/
Petite histoire sur The Ocean Collective:
Depuis 2001, le collectif de musiciens berlinois The Ocean Collective a sorti 7 albums studio acclamés par la critique, ainsi qu’un split EP avec les légendes japonaises du post-rock Mono. Avec de nombreux changements de musiciens sur scène et hors scène, le groupe s’est lancé dans d’incessantes tournées qui lui ont permis une réelle reconnaissance pour ses immenses shows en Live, qu’ils ont transportés dans les coins les plus reculés du monde, depuis des squats sibériens jusqu’aux théâtres coloniaux en Équateur.
Au cours de sa carrière, The Ocean Collective a fait des tournées avec Opeth, Mastodon, Mono, The Dillinger Escape Plan, Anathema, Between The Buried And Me and Devin Townsend, et a participé à de grands festivals tels que , Roskilde, Dour, Pukkelpop, Roadburn, Wacken, With Full Force, Summer Slaughter, Summer Breeze et Graspop. Pelagic Records, le propre label du groupe, est également devenu l’un des principaux labels européens pour le post-rock et le post-metal, avec un catalogue de 120 sorties depuis 2009.
Après 5 ans de tournée sur Pelagial, son sixième album, le groupe a commencé à enregistrer son 8ème album studio en février 2018, divisé en deux volumes qui sortiront séparément et respectivement en 2018 et 2020 et intitulés « Phanerozoic », I et II.
Le Phanerozoique a succédé au Précambrien, qui s’étend sur une période de 500 millions d’années jusqu’ à nos jours, et qui a vu l’évolution et la diversification de la vie végétale et animale sur Terre et sa destruction partielle lors de 5 extinctions massives. Conceptuellement et musicalement, le Phanerozoic de The Ocean Collective est le chaînon manquant entre les albums Precambrian (2007) et Heliocentric / Anthropocentric (2010)
Le guitariste et compositeur principal Robin Staps a écrit Phanerozoic de la même façon que ses prédécesseurs, dans une maison isolée au bord de l’océan. Le premier volume du double album Phanerozoic est composé de chansons sombres et pesantes, qui résument l’essentiel des thèmes musicaux qui les animent. La fusion des synthés analogiques avec les guitares heavy, et l’ajout de Peter Voigtmann au sein du groupe a fait une différence évidente.
Après des années passées à gérer les spectaculaires Light shows des concerts de The Ocean Collective, « en jouant essentiellement de la batterie sur la console d’éclairage tous les soirs », comme le dit Staps, il apporte maintenant une série de sons dystopiques et accrocheurs sur les chansons . Phanerozoic marque également les débuts d’enregistrement du bassiste Mattias Hagerstrand et du batteur Paul Seidel, qui apportent leur propre style et leur propre approche avec leurs instruments respectifs.
Comme pour toutes les sorties de The Ocean Collective, cette nouvelle musique n’est qu’une pièce du puzzle. Le collectif a toujours été connu pour ses paroles poignantes et stimulantes, et Phanerozoic ne fait pas exception à la règle. L’idée centrale sur laquelle reposent les paroles est celle de la «rennaissance éternelle», «le concept de Nietzsche selon lequel tout se passe encore et encore, un nombre infini de fois dans l’espace et le temps infinis», explique Staps. ‘Quand on regarde l’histoire de la Terre, on en trouve beaucoup: les continents sont entrés en collision et ont traversé les océans et sont entrés en collision, la vie a presque disparu à plusieurs reprises, mais elle a repris. le temps et la répétition. Cet album parle essentiellement du temps, de la perception du temps et du recommencement. Il s’agit de comprendre qu’il ya des choses dans la vie qui vont se reproduire et que nous ne pouvons pas changer et il faut donc trouver les moyens de faire face à cela ».
L’approche de Phanerozoic s’explique par le travail minutieux du groupe sur chaque détail et en expérimentant chaque chanson en Live dans la salle de répétition avant d’entrer en studio. Il s’agit d’une approche différente de celle des albumsprécédents. Le processus de composition des titres a commencé en Islande, la batterie ayant été enregistrée dans les studios Sundlaugin de Sigur Ros avec un ami et producteur de longue date, Julien Fehlmann. La grande salle pour la batterie avec sa fameuse réverbération naturelle, située dans un endroit isolé et magnifique entouré par la nature, était l’endroit idéal pour l’intronisation de ce disque.
Le reste de l’album a été réalisé à Berlin. Une section de cuivres a été enregistrée avec l’ ancien collaborateur Vincent Membrez (piano) et le violoncelliste Dalai Theofilopoulou, ami de longue date, tous deux invités sur l’album. Le chanteur de Katatonia, Jonas Renkse, offre une performance époustouflante sur la chanson « Devonian » qui dure 11 minutes. Cependant, il s’agit bien de l’album du chanteur Loic Rossetti. Staps et Rossetti ont beaucoup travaillé, testant une variété de styles et se concentrant sur la meilleure approche possible pour chaque chanson. ‘ Le chant hurlé de Loic sur une partie heavy fonctionne toujours très bien, mais notre objectif était d’éviter cette fois de toujours suivre le même chemin ‘, explique Staps. Le résultat est un album qui tire sa profondeur non pas en surface mais de sa base, non pas par rapport au chant, mais plutôt par rapport aux riffs sous-jacents, de la basse et de la batterie.
C’était une décision délibérée d’expérimenter cette musique en fonction du choix de chacun des membres de l’équipe qui ont participé à l’album: Julien Fehlmann pour les percussions, Jens Bogren (Katatonia, Opeth) pour le mixage, sans oublier l’artiste norvégien Martin Kvamme qui a réalisé une fois de plus l’ époustouflant Artwork, et ce qui fait sa 5ème collaboration consécutive avec le collectif. ‘Il n’y a pas de raison de changer une équipe qui fonctionne parfaitement’, commente Staps. ‘Quand Jens nous a joué le son de base du disque, Loic et moi nous sommes regardés et nous sommes restés bouches bées. Ça sonnait « SO FUCKING HEAVY » que nous avons pensé un instant le rendre un peu plus humain et un peu moins parfait … mais nous nous sommes finalement rendus compte que Jens avait réalisé un travail remarquable ‘.
Chacune des sorties de The Ocean Collective s’est révélée être une expérience profondément immersive, avec une attention sans faille aux moindres détails !
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Garmonbozia présente une date unique en France le 1er novembre 2018 au Backstage :
THE OCEAN + Special guest ROSETTA +ARABROT
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