Live Report : Epica + Dragonforce + Dagoba

Live Report : Epica + Dragonforce + Dagoba

Pour sa dernière date en France, avant leur grand retour à l’Olympia le 29 janvier prochain, Epica terminait à Cenon, une bourgade juste à côté de Bordeaux, avec les anglais de Dragonforce et les français de Dagoba afin de défendre son nouvel album sur scène «The Quantum Enigma». DAGOBA Alors déjà, quelle surprise de les

Pour sa dernière date en France, avant leur grand retour à l’Olympia le 29 janvier prochain, Epica terminait à Cenon, une bourgade juste à côté de Bordeaux, avec les anglais de Dragonforce et les français de Dagoba afin de défendre son nouvel album sur scène «The Quantum Enigma».

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DAGOBA

Alors déjà, quelle surprise de les voir en première partie de cette tournée ! Une bonne chose quand on connait la qualité des concerts que peut donner le groupe. C’est avec le titre «I, Reptile» de leur dernier album en date «Post Mortem Nihil Est» que le show débute. Belle entrée en matière, suivi de «The Man You’re Not». Le groupe est en excellente forme et Shawter ne cessera de nous remercier. En seulement quelques chansons, le groupe a quand même réussi à faire faire un wall of death et des circle pits ! Tout simplement énorme. A préciser que c’était la dernière date aussi où le groupe était présent avec Epica et Dragonforce.

Setlist :

I, Reptile
The Man You’re Not
The Nightfall and All Its Mistakes
Black Smokers (752° Fahrenheit)
When Winter…
The White Guy (and the Black Ceremony)

DRAGONFORCE

Alors je dois avouer que je ne connaissais pas vraiment ce groupe, c’était donc une totale découverte. Le groupe a la lourde tâche de passer après Dagoba qui a retourné la salle sur son passage quelques minutes plus tôt. Leur set commence par «Fury of the Storm», plus qu’idéal pour débuter, de nombreux solo, les membres du groupe sont en forme et montre tout le plaisir qu’ils ont à jouer pour le public constitué d’ailleurs, en grande partie de purs fans. Malgré la bonne prestation du groupe mais n’étant pas une grande adepte de power, je me suis assez vite lassée de leur musique et j’ai eu au final l’impression d’entendre la même chanson pendant 45 minutes.

Setlist :

Fury of the Storm
Three Hammers
The Game Seasons
Symphony of the Night
Cry Thunder
Valley of the Damned
Through the Fire and Flames

EPICA

La tête d’affiche de la soirée débarque enfin ! Il est 22h lorsque les lumières s’éteignent, et l’intro «Originem» retentit sous les cris du public. Les premiers riffs de «The Second Stone» résonnent, premier titre du nouvel album «The Quantum Enigma» qui sera très bien représenté ce soir avec pas moins de 6 titres. Epica enchaîne directement avec «The Essence of Silence». Sur le pont musical le groupe n’hésite pas à entrainer le public à frapper dans ses mains avant de faire headbanger tous les fans . Deux excellents morceaux pour commencer la soirée qui sera sans temps mort par la suite. Simone Simons (chant) ne cesse de sourire, Isaac Delayae (lead guitar) entraîne le public, Ariën van Veesenbeek (batterie) nous fait un (trop) court solo de batterie et Coen Janssen (clavier) descend même voir les personnes du premier rang.

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Le son de la salle est très bon, les orchestrations et les chœurs sont parfaitement audibles. Et réellement puissants sur certains morceaux, comme sur «Victims of Contingency» qui sera un moment fort pour moi avec «Chemical Insomnia». Le seul problème est que l’on n’entend pas énormément Simone, voire très peu par moment. Ce qui est quand même relativement dommage quand on connait les capacités vocales de celle-ci. Il en est de même pour Mark.

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Les meilleurs titres du groupe sont joués avec même quelques bonnes surprises comme la chanson «Fool of Damnation» du 3ème album «The Divine Conspiracy» qui fera bouger tout le monde. Le groupe se retire sur «The Phantom Agony», morceau culte de leur discographie. On aura droit à la même version que dans leur récent DVD «Retrospect», c’est-à-dire, avec les passages pop qui font sauter tout le public. La chanson n’est même pas terminée que les fans réclament déjà le retour du groupe. Et c’est avec la chanson «Cry For The Moon» qu’il revient sur scène. Simone entraine le public à chanter avec elle, et faire les « forever and ever », un excellent moment. Pour conclure leur concert, Epica joue son titre phare «Consign To Oblivion». Neuf minutes, qui paraissent bien trop courtes. Une parfaite manière de terminer cette soirée ! Après quelques remerciements et des photos prises avec un public enthousiaste, Epica se retire définitivement de la scène. Il ne nous reste plus qu’à nous remettre de nos émotions jusqu’à leur prochain concert.

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Setlist :

Originem
The Seconde Stone
The Essence of Silence
Unleashed
Storm the Sorrow
Victims of Contingency
Fool of Damnation
The Obsessive Devotion
Chemical Insomnia
Sancta Terra
Natural Corruption
The Phantom Agony

Rappel:
Cry For the Moon
Unchain Utopia
Consign to Oblivion

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Merci à Mimi pour cet article et à Cloctopus Photographie pour les photos.