Herman Rarebell: « En parlant des SCORPIONS »

Herman Rarebell: « En parlant des SCORPIONS »

Herman Rarebell « En parlant des SCORPIONS » sort en version française  « En parlant des SCORPIONS », l’ autobiographie d’Herman Rarebell, batteur-culte du groupe allemand,  Scorpions, enfin traduite en français, avec une Préface de Dieter Dierks. Sortie  le 20 Novembre 2017 aux éditions Camion Blanc. Traduction de Guillaume Gaguet, auteur de la biographie des Scorpions saluée par les

Herman Rarebell
« En parlant des SCORPIONS »
sort en version française

 « En parlant des SCORPIONS », l’ autobiographie d’Herman Rarebell, batteur-culte du groupe allemand,  Scorpions, enfin traduite en français, avec une Préface de Dieter Dierks.

Sortie  le 20 Novembre 2017 aux éditions Camion Blanc.
Traduction de Guillaume Gaguet, auteur de la biographie des Scorpions saluée par les fans et la critique
« 50 Ans Dans l’Oeil du Cyclone ».

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Le mot du traducteur : Guillaume Gaguet
Herman Rarebell a été le batteur des Scorpions entre 1977 et 1995, ce qui correspond globalement à l’âge d’or commercial du groupe. De là à dire que le succès du groupe est lié à la présence d’Herman, il n’y a qu’un pas que le batteur n’hésite pas à franchir dans son autobiographie, qui retrace l’intégralité de son parcours. Il faut dire que Herman a dès le début été plus qu’un simple exécutant, puisqu’il a pris part à l’écriture et à la composition de plusieurs dizaines de morceaux pour les Scorpions.

Très tôt, Herman a apporté une touche de légèreté dans la musique des Scorpions, en proposant des paroles crues, très orientées sur la libido, alors que les paroles de Klaus Meine étaient plutôt empreintes d’un certain amour courtois. Pour Herman, pas de romantisme, c’était sex, drugs et
rock’n’roll, et il partage dans son autobiographie énormément d’anecdotes concernant le sexe et l’usage des stupéfiants.. Herman est un hédoniste dont le comportement s’accorde parfaitement avec l’énergie débridée des années 80.

Dans son livre, Herman traite de tous les sujets. De son enfance en Allemagne de l’ouest jusqu’aux événements les plus récents de sa carrière, en passant bien sûr par ses 18 années passées au sein des Scorpions, qui sont illustrés par de nombreuses anecdotes. Herman a réussi à préserver sa
candeur originelle, l’énergie de ses débuts, même si le livre est empreint d’un certain réalisme parfois désabusé. On y trouve également des réflexions fournies sur l’amour, le succès ou l’absence de succès, et sur les méandres qui peuvent amener un jeune musicien à sombrer dans l’alcoolisme
et la drogue.

C’est un témoignage drôle et émaillé de nombreux traits d’esprit, car Herman est bourré d’humour, mais aussi très touchant et empli de sagesse.
J’espère que les amateurs de la musique de Scorpions et de hard rock en général prendront autant de plaisir à lire cet ouvrage que j’en ai eu à le traduire. J’ai la chance d’être intime avec Herman depuis plus de 10 ans maintenant, et il est vraiment très heureux que son autobiographie
connaisse une nouvelle vie sur le territoire français. En Parlant Des Scorpions c’est l’histoire d’un groupe, c’est aussi l’histoire d’un homme, mais c’est en substance l’histoire du rock, et de la victoire du culot et du talent face à l’adversité.

Le quatrième de couverture :
Comme un outsider dépassant ses adversaires, les Scorpions ont, contre toute attente, fini par atteindre les sommets. À la fin des années 70, ils ont quitté le relatif anonymat de leur ville de Hanovre en Allemagne pour trôner sur le royaume du rock’n’roll.
Herman Rarebell, surnommé Herman « Ze German », y a pris toute sa part. Plus qu’un simple batteur, l’écriture inspirée et imaginative de Herman était l’ingrédient-clé et le chaînon manquant qui a permis au groupe de percer alors que les prétendus « connaisseurs » ne croyaient pas un seul
instant en ses chances de réussite.

Dieter Dierks, producteur de longue date des Scorpions, dit de lui :
Au-delà d’un simple batteur, Herman a joué un rôle prépondérant dans l’évolution de ce qui serait reconnu comme le style Scorpions « classique ». La musique débute avec le batteur. Peu de gens le savent. Un simple coup d’oeil au « succès » du groupe, ou plutôt à l’absence de succès, avant l’arrivée de Herman « Ze German », puis la perte de popularité du groupe après son départ, témoignent du rôle essentiel qu’il a joué au sein des Scorpions.
Ce qui nous est livré ici est bien plus que la chronique élogieuse d’un homme ordinaire. Ce livre est tout sauf cela. Au-delà de l’auteur, c’est d’abord l’histoire de ce qui est certainement le plus grand groupe de son époque. Une histoire émaillée d’anecdotes amusantes, de traits d’esprit souvent emplis de sagesse. Considéré comme un chef-d’oeuvre par les amateurs d’un humour ironique ou satyrique, il s’adresse tout autant aux amoureux de narrations bien troussées, et renouvelle le genre autobiographique. Par ses incessantes histoires et anecdotes, Herman décrit le parcours du
groupe jusqu’au sommet de l’Olympe du rock !

Son co-auteur, Michael Krikorian, use de sa plume pour les colorer, apportant plus de teintes et de nuances qu’aucune boîte de crayons Crayola n’en a jamais contenu. Ensemble, ils dressent la table et servent un banquet fait de souvenirs et de sarcasmes, un véritable festin de roi ! Aucun sujet n’est éludé par ce maître de la précision qui use et abuse de jeux de mots et de sous-entendus, pour écrire l’histoire non seulement d’un groupe extraordinaire mais aussi celle de toute une génération. Sans les calories, mais avec le même sentiment de culpabilité, la franchise et l’honnêteté qui nourrissent ces pages procurent un plaisir délicieusement coupable qui, loin de vous couper l’appétit, vous en fera réclamer davantage !

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