CHRONIQUE : BLACK ROOSTER : 1er album RED HOUSE
Ils sont français, ils ont du talent et RED HOUSE est un superbe album que je recommande vivement à tout amateur de Dirty Blues bouleversant, retentissant et excitant.
CHRONIQUE
BLACK ROOSTER
1er album : RED HOUSE
TRACKLIST
1.Once upon a dog 05:06
2.I met the sun 05:08
3.Burning me 05:02
4.Useless time 05:07
5.I’m a bomb 03:44
6.Speed of light 05:12
7.Slove 07:40
https://www.facebook.com/groupeblackrooster
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Le groupe BLACK ROOSTER vient de sortir son premier album RED HOUSE distribué sur toutes les plateformes depuis ce vendredi 11 mars 2022
Un dirty blues /stoner au groove intensément ensorceleur dont le chant rocailleux d’Eric – Blacky – Sebbar est vibrant d’émotion.
Black Rooster ce sont 5 musiciens originaires de Nice.
Ils ont déjà foulé un grand nombre de scènes de la région PACA, et leur solide expérience transparait tout au long de ce premier album. En effet quatre d’entre eux sont d’anciens membres du groupe de Funk Rock BLOFELD.
On trouve donc la voix unique d’ Eric – Blacky – Sebbar, la section rythmique infaillible avec Julien Solliet à la batterie et Damien Bisson à la basse, et la guitare ultra efficace de Pierre Calluaud. A ce quatuor déjà bien ficelé s’ajoute la guitare acérée de Seb Noceo (CHINASKI).
La fièvre Funky a donc fait place à un Dirty Rock bluesy captivant, qui hérisse le poil de plaisir. Les compositions sont imprégnées d’influences allant des seventies à nos jours avec des groupes tels que Deep Purple, Jimi Hendrix, Led Zepplin, Rival sons, ou encore Clutch. Mais des inspirations d’artistes tels que Gary Clark Jr et de Soul Men légendaires comme Gary B.B. Coleman ou Floyd Lee transparaissent également.
Avec la particularité de sa voix rauque et cassée Erik transmet une émotion incroyable comme un véritable cri du cœur sincère et authentique. L’ouvreur Once upon a dog en est l’exemple type avec son tourbillon de groove ravageur.
Black Rooster libère 7 titres aussi vibrant les uns que les autres. On frémit ostensiblement sous les mélodies accrocheuses, les solos efficaces et la tonalité massive des compositions. Les tempos varient entre mélancolie et sensibilité (Once upon a dog, Slove), espoir et détermination (I met the sun, Speed of light), profondeur (Useless time) et vigueur (Burning me, I’m a bomb).
RED HOUSE est un superbe album que je recommande vivement à tout amateur de Dirty Blues bouleversant, retentissant et excitant.
A consommer sans modération.
Christiane.T
